Marine Le Pen ou le suicide électoral. C’est à se demander, à la voir
saccager son débat d’entre-deux tours avec une constance et une
application fulgurante, si le FN fût jamais autre chose qu’un mirage
grossier, un golem savamment cultivé dans les caves de Montretout pour
pousser le peuple français à choisir comme un seul homme la dystopie
libérale-libertaire dans laquelle nous sommes désormais enfoncés
jusqu’au cou. Grimaçante, imbécilement condescendante, enfermée dans une
coprolalie anti-système digne d’un apprenti-Conversano, incapable de
donner à son programme rapiécé un quelconque semblant de cohérence, elle
a ouvert une autoroute à un Macron médusé qui n’en demandait sans doute
pas tant.
Le FN, petit
parti dynastique, montre son vrai visage, celui d’une caste népotiste
qui se torche allègrement, et depuis 50 ans, avec les valeurs d’un
peuple qu’il n’a cessé de mépriser, à l’instar du reste de
l’oligarchie, à laquelle il appartient viscéralement. Peut-il y avoir
une vraie droite française sans aucune notion du Sacré, sans une
ascendance idéologique et mystique clairement établie ? Toute
verticalité a été abolie dans ces droites fantoches et hideuses qui
contournent, suçotent et titillent sans relâche l’anus mondain de la
vouivre Socialisme.
«Le nationalisme français implique une action révolutionnaire », disait Maurras. Les LePen n’ont aucun intérêt à cela, ils se vautrent depuis des années dans la soie dont sont faites les couches-culottes de Macron. De fait, le FN n’existe pas, il n’est que le masque revêtu cycliquement par le système pour donner au peuple français la honte de son pays et la peur de sa transcendance passée.
Charles, au secours !
«Le nationalisme français implique une action révolutionnaire », disait Maurras. Les LePen n’ont aucun intérêt à cela, ils se vautrent depuis des années dans la soie dont sont faites les couches-culottes de Macron. De fait, le FN n’existe pas, il n’est que le masque revêtu cycliquement par le système pour donner au peuple français la honte de son pays et la peur de sa transcendance passée.
Charles, au secours !
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